La mer divague.
A l'âme du curieux égaré,
Sur la plage d'Omaha,
Elle vient, lancinante lui rappeler
Son autre visage surgi du passé.
C'est un vent de liberté qui force le gris de ses lames
Et sa gueule bavant d'écume qui vient mourir à mes pieds.
Omaha, la sanglante se couvre d'ocre rouge incendié
Quand le soleil, soudain se couche
Là où les hommes sont tombés.
1. 06/03/2011
toujours aussi beaux tes textes (cette poésie en est la preuve)